Infos

Bienvenue sur l'ancien site de la Confrérie des Chevaliers du Brie de Melun
 
Vous trouverez sur cette page et les pages suivantes, les anciens articles, dont le premier article publié en 2012.

Dernier chapitre avant la trêve estivale

Laurence Goudet-Dupuis, journaliste agricole au journal HORIZONS, et Armelle Bristiel, éducatrice, ont rejoint comme CHEVALIERS la Confrèrie lors du chapitre organisé à l’Hôtel de ville de Melun le 5 juillet. Les articles de Laurence concernant les évènements de nos confréries, et particulièrement celle du Brie de Melun sont toujours appréciés…quant à Armelle, c’est son aide et son soutien qui sont fortement appréciés !

Chapitre solennel sur le parvis de la Cathédrale

Dimanche 3 juillet 2016, dix sept confréries avaient répondu à l’invitation des Chevaliers du Brie de Meaux ; la confrérie du Brie de Melun était représentée par Monique et Georges Bristiel, Monique et Bernard Bouteiller, Bernard Hup, Josette Chabane, Danielle et Louis Saby, Jean Roland et Jean Michel Besancenot. C’est la messe des confréries, célébrée en la cathédrale St Etienne, qui a débuté la journée, messe qui a été l’occasion de rappeler la mémoire de Lucien Lefèvre, Grand Maitre de la Confrèrie tout récemment décédé. Le chapitre solennel qui a suivi , sur le parvis de la cathédrale, a vu l’arrivée d’une trentaine de nouveaux Chevaliers au sein de la Confrèrie meldoise ; deux confrères de Melun, membres du Grand conseil, ont fait partie de cette « promotion », Bernard Hup et Bernard Bouteiller ; on a remarqué aussi parmi les personnalités intronisées, Jean Paul Bosseau  , chargé de mettre  en place de la future Confrèrie des Chevaliers du Brie de Coulommiers, de Benoit Chevron, conseiller régional et Président de la fédération des chasseurs de Seine et marne et de madame le Maire de Givry dont la Confrèrie vineuse est mariée avec  les Chevaliers du Brie de Meaux.

Et puis repas de gala dans les salons de l’Hôtel de ville, bonne chère et excellente ambiance !

Fromagora 2016, Concours national des fromages de chèvres fermiers

C’est à Paray le Monial, en Saône et Loire, au cœur du bassin Charolais-Brionnais, que s’est déroulé les 24 et 25 juin 2016, le 31ème concours des fromages de chèvres fermiers, organisé par la Fédération nationale des éleveurs de chèvres (FNEC) et l’ODG Fromage Charolais, en lien avec l’Association nationale interprofessionnelle caprine (ANICAP), les Chevriers Bourguignons et le Centre fromager de Bourgogne. Le concours était présidé par notre confrère et journaliste critique gastronomique, Périco Légasse et par Stéphane Vergne, Président des Crémiers- Fromagers de France ; commissaire du concours, notre confrère Jean Claude Le Jaouen devait veiller au bon travail des 150 jurés, répartis sur 41 tables et chargés de juger 346 fromages fermiers provenant de 125 élevages répartis sur une quarantaine de départements français ; l’Ile de France était présente avec plusieurs échantillons. Attribuées par un « super jury », les médailles d’or (note au moins égale à 16/20), d’argent ( 14 à moins de 16) et de bronze ( 12 à moins de 14) ont récompensé les producteurs pourvu que la note de gout obtenue ne soit pas inférieure à 7/12.

Introduite par Monsieur le Maire de Paray le Monial et Monsieur le Préfet, la table ronde qui a suivi le concours, en après midi,  a été l’objet d’échanges fort intéressants entre les intervenants et le public…modalités d’inspection, étiquetage des produits fermiers, redéfinition du qualificatif « fermier », rôle essentiel des productions fermières…Périco Légasse a tenu à repréciser « un fromage fermier provient uniquement du lait du troupeau de la ferme, nourri avec les fourrages de la ferme, la fabrication étant assurée par le Fermier »…accord unanime !

   
  

Remise des prix dans le cloitre de la superbe basilique romane…une occasion pour nos amis de l’Ambassade du Charolais de faire déguster «  la meilleure viande du monde ». Soirée festive ensuite durant laquelle la Confrérie des Chevriers du Taleu (1) et son Grand Maitre Daniel Rizet ont intronisé plusieurs personnalités dont Cécile Laitier, de L’Institut de l’Elevage, Stéphane Vergne, Périco Légasse et notre ami (un des fondateurs de Fromagora) Karim Boussouar. Ambiance extraordinaire soutenues par les propos enflammés de Périco et les chants festifs de Karim !

Gilberte et Michel Timbert, Jean Michel Besancenot représentaient la confrérie parmi les jurés du concours.

(1) Taleu…triangle de bois mis au cou des chèvres pour les empêcher de franchir les haies ou « bouchures »

Paris Rungis, la cité de la Gastronomie est en route !

Le mercredi 22 juin 2016, à l’Ecole Nationale Vétérinaire d’Alfort, s’est mis en place le Conseil scientifique, culturel et éducatif de la Cité de la gastronomie Paris Rungis. Invitée en tant qu’expert, l’Ambassade des Confréries, des produits du Terroir, du gout et de la gastronomie d’Ile de France était représentée par son président Louis Saby et par Jean Michel Besancenot.

André Laurent Parodi, directeur honoraire de l’ENV d’Alfort a remercié les participants et introduit travaux et débats  en collaboration avec Christian Hervy, président du syndicat mixte de la Cité de la Gastronomie, et Pascal  Savoldelli, vice président du Conseil départemental du Val de Marne ; c’est avec beaucoup de plaisir que nous avons retrouvé notre confrère Pierre Sanner, directeur de la Mission française du Patrimoine et des Cultures alimentaires et Jérôme Kohn,  notre confrère, directeur du CERVIA.

Cette 1ère réunion, au sein de l’Amphithéâtre Blin, a regroupé une quarantaine d’experts venus d’horizons différents, circuits alimentaires, marchés, restauration, sociologues, historiens, gastronomes et professionnels de la santé, du tourisme et de l’éducation. La future cité de la gastronomie Paris Rungis devra porter les valeurs de l’UNESCO suite à l’inscription du Repas des Français en novembre 2010, elle le fera avec 3 autres cités Dijon, Lyon et Tours. Paris Rungis devrait ouvrir ses portes en 2024 mais les projets sont déjà bien avancés avec des espaces notamment bien définis pour la formation, la culture et la restauration ; en ce qui concerne fonctionnement et animation, le syndicat mixte s’appuiera sur les avis, idées et recommandations du Conseil scientifique. Le cout du projet est estimé à 65 millions d’Euros.

Cette 1ère rencontre a eu pour but de bien cadré le travail  à venir du Conseil qui se réunira 2 fois avant la fin novembre puis assemblée plénière en décembre, suivie de 2 réunions début 2017 ; entre temps chaque expert est chargé de réfléchir, chacun dans son domaine, sur ce que professionnels et visiteurs devront trouver dans cette Cité francilienne pour promouvoir la gastronomie.